« Je pense déjà aux Wallonnes »

Jelle Vanendert (34) rejoint le groupe Wallonie-Bruxelles en provenance de l’équipe Lotto-Soudal où il évolué pendant 13 saisons. En 2019, il s’est classé, entre autres, 9e de la Flèche Wallonne, 7e de la Clasica San Sebastian. En 2018, il a terminé 3e de la Flèche Wallonne, 11e de Liège-Bastogne-Liège, 2e du Baloise Belgium Tour, dont il a remporté la 4e étape, 4e du Grand Prix de Wallonie. Il a participé à 10 grands tours (3 TdF, 3 Giro, 4 Vuelta). Il s’est imposé dans la 14e étape du Tour de France 2011, au Plateau de Beille, il s’est classé 4e de la Flèche Wallonne (2012), deux fois 2e de l’Amstel Gold Race (2012, 2014), ainsi que deux fois 4e du VOO Tour de Wallonie (2016, 2017).

Wallonie-Bruxelles. « J’ai évolué 13 ans dans le World Tour au sein de l’équipe Lotto-Soudal. Je suis content de l’opportunité que m’offre l’équipe Wallonie-Bruxelles dont le projet m’a séduit. Je suis très motivé pour travailler avec des jeunes coureurs ainsi qu’avoir la possibilité de jouer a carte personnelle, notamment dans les classiques wallonnes. »

Jeunes coureurs. « Je veux donner mon expérience aux jeunes du groupe WB. Je veux les conseiller sur l’entraînement conduisant à certaines courses et comment y arriver au top niveau. Je veux leur montrer le placement en course. »

Ambitions. « Mes ambitions personnelles sont dans les classiques wallonnes, ou dans des courses comme le Tour de Wallonie et le Grand Prix de Wallonie. C’est important pour l’équipe et pour moi. J’avoue que je pense déjà à la Flèche Wallonne, à la Flèche Brabançonne, à Liège-Bastogne-Liège et, si nous sommes invités, à l’Amstel Gold Race. »

Hiver. « J’ai passé une période hivernale normale. Un moi sans vélo et puis retour en selle. Je suis dans les temps en janvier mais je sais qu’il y a encore beaucoup de travail pour arriver au haut niveau. »

Programme. « Tour d’Arabie Saoudite, Tour d’Oman, ensuite deux courses en France, Nokere, Coppi e Bartali, Volta Limburg ou Tour des Flandres, Circuit de la Sarthe et les Wallonnes. »

Interview de Jelle Vanendert (audio)