Dimitri Peyskens met le cap sur l’Italie pour y disputer le Trofeo Matteotti (29/08), le Memorial Pantani (30/08) et la Settimana Internazionale Coppi e Bartali. Les parcours proposés conviennent bien au Bruxellois qui évoluera dans la Botte au sein d’un groupe Bingoal-WB très motivé.
Tchéquie et Limousin. « Je suis sorti de ces deux courses par étapes avec un bon sentiment, même si j’ai connu de la malchance: problème de dérailleur en Tchéquie dans l’étape qui me convenait bien et cadre cassé au Limousin après la grosse chute collective du premier jour, dans laquelle je ne suis même pas tombé… Le Tour du Limousin a néanmoins été une belle expérience pour l’équipe. »
6 jours de course en Italie. « J’ai pris du repos après le Limousin. J’ai ensuite remis le système sous tension pour me préparer pour le premier rendez-vous italien, le Trofeo Matteotti, qui sera disputé ce samedi. Matteotti et Pantani sont deux courses assez dures, tout dépend de leurs déroulements. Matteotti se court en circuits avec une bosse. Le Memorial Pantani est dur au milieu du parcours mais la finale est assez plate. Ces deux rendez-vous peuvent me convenir. La Coppi e Bartali, où nous avions gagné deux fois en 2019, est aussi à ma mesure. Le premier jour se déroule en deux temps, étape de sprinters le matin et chrono par équipes l’après-midi où il sera important de bien rouler pour se placer au classement général. La 2e étape comprend plusieurs bosses et pourrait générer la formation d’un petit groupe pour l’arrivée. La 3e étape, contrairement aux autres, sera inédite pour moi mais elle présente aussi du dénivelé. Idem pour la dernière qui s’était terminée l’an dernier avec un sprint d’une trentaine de coureurs. Je pense que nous aurons de nombreuses opportunités dans cette épreuve, nous avons un groupe très solide en Italie. »
Classiques. « Je disputerai le Tour de Slovaquie ou le Tour du Luxembourg pour préparer les classiques. Je serai dans le groupe des ardennaises mais il y aura aussi la possibilité, pour les coureurs qui auront encore du jus, d’enchaîner avec les classiques flandriennes. »
