Floris De Tier retrouve le Sud de la France avec la Classic du Var (16/02) et le Tour des Alpes maritimes (17-18/02) où il avait évolué en 2021. Notre coureur est sorti satisfait, personnellement et collectivement, du Tour de la Communauté de Valence où il a commencé sa saison 2024. Il veut passer un nouveau cap dans le Var et viser des places d’honneur. Notre équipe se présente en France avec des coureurs qui sortent du Tour d’Antalya (Matthys, Tizza) et du Tour de Colombie (Van der Beken, Persico) ainsi qu’avec des membres de l’équipe de Développement (Detalle, Verleyen) qui entrent en compétition.
Floris De Tier. « Je suis content de ma première course, le Tour de la Communauté de Valence, où j’ai évolué à un bon niveau (22e). J’avais de bonnes sensations dans les bosses des différentes étapes. Nous avons aussi livré en Espagne un très bon travail de groupe. J’ai bien travaillé à l’entraînement depuis Valence, mais je ne m’estime pas encore à 100 % de ma condition; j’ai encore besoin de compétition pour encore progresser. Les trois jours de course dans le Var vont me permettre de passer un nouveau cap et, aussi, de performer personnellement et avec l’équipe. Le parcours et son profil me conviennent bien. Nous nous présentons dans le sud de la France avec un très bon groupe qui pourra viser des places d’honneur. »
- Après les courses varoises, Floris De Tier disputera les classiques l’Ardèche (24/02) et la Drôme Classic (25/02) ainsi que Trofeo Laigueglia (27/02).
Christophe Detilloux (D.S.). « La Classic du Var est particulière avec une arrivée au Mont Faron qui va sourire à un grimpeur explosif. Floris De Tier et Marco Tizza seront nos atouts. J’attends aussi de voir le comportement de Louka Matthys qui a une très entrée en matière à son actif à Bessèges et à Antalya. La première journée du Tour des Alpes maritimes présente une boucle de 75 kilomètres avant une entrée sur les circuits locaux: on peut attendre un peloton à l’arrivée avec, pour nous, un atout comme Jens Reynders, qui fait sa rentrée. La deuxième étape est plus courte mais plus dure, avec deux cols (Eze et Châteauneuf) dans la première moitié; l’arrivée à Vence est difficile avec la montée de la Sine (4,2 km à 4,4 %). De Tier et nos hommes de la première journée viseront classement général. »
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