Julien Mortier disputera sa 2e « Copi et Bartali » du 27 au 31 mars. Le jeune pro de 2e année entend tout donner sur les routes italiennes pour son leader Eliot Lietaer. Julien a progressé en un an dans les courses dures, qu’il apprécie. Il s’est aussi récemment classé 4e du sprint de Paris-Troyes. Voici trois commentaires instructifs.
Paris-Troyes. « Je suis content de ma 4e place au sprint mais il faut relativiser car c’est une course de classe 1.2, d’un niveau moindre donc. Je n’avais plus l’habitude de jouer la gagne, comme je le faisais en espoirs, et j’ai commis quelques erreurs dans la finale. Mais c’est un bon souvenir. »
Coppi e Bartali. « J’avais gardé un bon souvenir de cette course en 2018. C’est une course à l’italienne, dure, où il faut toujours être placé. J’ai progressé depuis 2018. Je me suis rassuré dans l’étape de montagne à Oman et surtout à la Classic de l’Ardèche et où j’ai pu évaluer mon évolution dans les bosses. J’ai encore du boulot mais j’avance. À la Coppi, je me mettrai au service d’Eliot Lietaer, notre leader, qui est en grande forme. Prendre le vent pour le placer au mieux, c’est aussi apprendre le métier et progresser. »
Ardennes. « Celle que je préfère est la Flèche Brabançonne, avec ses bosses courtes, ses quelques pavés. J’apprécie aussi la Flèche Wallonne. Le parcours de Liège-Bastogne-Liège est plus compliqué pour moi. »