Ludovic Robeet, équipier gagnant

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Les coulisses de Bingoal-WB

         

LUDOVIC ROBEET est né à Nivelles un 22 mai 1995. Le Brabançon, fils de l’ancien professionnel Patrick Robeet, en est à sa quatrième saison chez les pros au sein de la structure Bingoal-WB après avoir évolué pendant 4 saisons au sein de l’équipe de développement (2013-2016). Rencontre avec un homme, précis, très organisé, discret, au sens de l’humour indétrônable, qui n’a jamais eu peur de se sacrifier pour son équipe. A 110 %! (Photos CT Bingoal-WB/Photonews)

Le parcours cycliste de Ludovic

 

Premières années de vélo? « Je n’ai plus beaucoup de souvenirs de cette période. J’ai pratiqué longtemps le vélo pour m’amuser, sur la route et en VTT. »

>> Commentaire des directeurs sportifs de l’équipe de développement (Color-Code – Biowanze) avant le début de la saison 2013.« Ludovic arrive de l’UC Seraing Crabbe-Performance. Il entre cette année dans la catégorie des espoirs. On l’a vu chez les juniors très à l’aise dans des parcours difficiles. Il s’est notamment classé 2e du championnat FCWB et a plusieurs top-10 à son actif en 2012. Il a du potentiel et doit à présent apprendre le métier et beaucoup travailler. Il doit encore se développer musculairement et travailler son explosivité, malgré sa grande taille. On doit attendre une grosse progression de sa part en 2013. C’est le gros objectif de la saison. Ludovic est toujours étudiant. »

 

Première victoire? « Oui, c’était en espoir, à la kermesse de Polleur si je me souviens bien. »

Première surprise? « Sans aucun doute, la longue échappée à Paris-Roubaix 2018 avec Jimmy Duquennoy. Je n’avais jamais disputé une épreuve pavée. J’ai tenu le plus longtemps possible à l’avant. J’ai tenu à aller au bout (73e). Ma victoire à la Copppi e Bartali en 2019 est aussi un grand souvenir… »

Première chute? « Olala, il y en a eu tellement que je ne m’en souviens plus…J’ai toutefois connu une saison presque blanche en 2015 suite à une indispensable opération pour soigner un syndrome de loge sur le muscle des tibias, ce qui me provoquait des tendinites à répétition et m’empêchait de rouler. »

 

 

 

 

 

 

 

 

Si tu n’avais pas fait de vélo… ? « Je ne sais pas. Le vélo est tellement une passion pour moi que je ne vois pas du tout ce que j’aurais pu faire d’autre. »

La période du coronavirus? « Mes journées sont un peu semblables à des journées d’entrainement hivernales:  je me lève, je déjeune, je vais rouler quelques heures puis je rentre, je me repose. Je recommence le lendemain. C’est très long car je suis quelqu’un qui a besoin de courses: la motivation est là plus difficile à trouver pour aller s’entraîner tous les jours. »

Jardin ou ciné? « Jardin car j’ai besoin d’être à l’extérieur. »

 

Mer ou montagne? « Montagne. »  (Ah bon? 😉 )

Sushis ou pasta? « Pates, sans hésitation. »

Bière ou vin? « Bière… ou champagne! »

 

 

J’adore… « Rouler en voiture… pour aller nulle part. »

Je déteste… « Le trouble quand il fait calme. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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