“Je gère bien cette période difficile”

Dimitri Peyskens – Inside Bingoal-WB

DIMITRI PEYSKENS (vidéo) est l’homme des terres de la Flèche Brabançonne et de la Druivenkoers. Le Bruxellois (29), titulaire d’un master en éducation physique et entraînement, est un habitué de Bingoal-WB où il évolue comme professionnel depuis 2017. Puncheur, coureur d’expérience, Dimitri est, de longue date, passionné de vélo. Il a évolué, depuis sa montée chttps://www.wbca.be/wp-content/uploads/2020/05/WhatsApp-Video-2020-04-09-at-11.16.03-1.mp4hez les « élites sc. » chez Terra Footwear Bicycle Line (2010), VL Technics-Experza-Abutriek (2011-12), Lotto-Soudal U23 (2013-14), le Team 3M (2015), Veranclassic-Ago (2016). Il est devenu professionnel en 2017 dans notre structure WB-Veranclassic-AquaProtect. Dimitri s’est entre autres classé 3e du Rad am Ring (All), 8e de la Volta Limburg, 2e du GP de Nogent, 14e du VOO Tour de Wallonie en 2017, 7e du Rund um Köln et de la Famenne-Ardenne Classic, 6e du Circuit de la Sarthe, 13e de l’Arctic Race, 8e des Boucles de l’Aulne en 2019…
Rencontre avec un athlète aux qualités plurielles, hyper-encouragé par les bouillants “Supporters & Vrienden van Dimitri Peyskens – SVDP

 

Premier vélo? « C’était un Scott, si je me souviens bien. »

Première course? « C’était la course d’entraînement à Vollezele. »

Première victoire? « J’étais en première année chez les juniors, à Walhain Sait-Paul. »

Premier maillot? « Un maillot Fassa Bortolo. »

 

 

Premier grand souvenir? « Le Tour de l’Avenir chez les espoirs. Ma 7e place dans la course-test sur le parcours des Jeux Olympiques de Tokyo. »

Première surprise? « Le Tour d’Oman, lors de ma première année pro. »

Première déception? « Mon premier Liège-Bastogne-Liège. »

Première grosse chute? « En juin 2019, quand je me suis fait renverser par une voiture. Hôpital… »

 

 

 

 

 

Si tu n’étais pas coureur, tu serais quoi? « J’ai un master en éducation physique avec une spécialisation d’entraîneur. Mais je pense que je serais quand même dans le monde du vélo. »

À quoi ressemblent tes journées en ce moment? « Le matin, je vais promener le chien, puis je prends mon petit déjeuner. Ensuite, un peu de gainage de temps en temps, puis, je pars rouler entre 3 et 6 heures. A mon retour, je mange, je prends un peu de récupération et il est déjà l’heure d’aller dormir. »

Jardin ou cinéma? « Cinéma. »

Sushi ou pâtes? « Sushi. »

Mer ou montagne? « Montagne. »

Bière ou vin? « Vin. »

 

 

Chien ou chat? « Chien. »

J’adore… « … Le chocolat. »

Je déteste… « La pluie. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un avis sur la suite de la saison 2020 qui avait à peine commencé? « Je pense que les courses nationales pourront avoir lieu plus vite que les courses internationales. J’espère qu’on pourra, par exemple, déjà faire quelques kermesses en juillet pour nous replonger dans le rythme. Mais cela dépendra de la décision du Conseil de Sécurité concernant les événements… »

Situation inédite en 2020: comment la gères-tu? « Je penses que je gère assez bien cette situation. Je prends du plaisir sur le vélo en faisant beaucoup d’heures de travail de base avec un peu d’intensité en attaquant une bosse. Je veux être prêt quand les courses pourront reprendre. Sur le plan du mental, je dirai que cette situation est un fait que je ne peux pas changer donc je ne me tracasse pas trop. J’essaie simplement de faire un maximum pour être prêt. La difficulté est qu’on ne sait pas quand on pourra de nouveau courir… »

 

Dimitri Peyskens en chiffres

 

Dimitri Peyskens et Mathijs Paasschens présentent notre partenaire équipementier JOMA SPORT (Cliquez sur la photo pour découvrir nos équipements)

Vers la boutique JOMA en ligne