Après le programme « wallon », le GP Cerami et le Tour de Wallonie, les coureurs de Wallonie-Bruxelles ouvrent le mois d’août en Bretagne avec le Kreiz Breizh (2.2), course que l’équipe dispute pour la toute première fois. Elle est lancée le 2 août par une contre-la-montre par équipes à Ploumagoar, avant trois étapes dans la région du Kreiz Breizh, au centre de la Bretagne.
Dimitri Peyskens, 7e du récent Tokyo 2020 Test Event qu’il a disputé au sein de l’équipe nationale, aborde l’épreuve bretonne en leader de la formation WB, qui accueille Luc Wirtgen, stagiaire issu du pôle de WB Développement. « Je connais le Kreiz Breizh pour l’avoir disputé deux fois », explique Dimitri Peyskens. « C’est une course dure, avec des montées, des descentes, pas un mètre de plat, des virages, des routes étroites et du vent. Le fait qu’elle soit en classe 2.2 annonce une épreuve peu contrôlée sauf si une des trois équipes continentale pros engagées prend le maillot de leader à l’issue du contre-la-montre par équipes initial. Ce CLM doit, c’est le règlement de l’organisateur, se courir avec le vélo normal. »
Septième, le 21 juillet, du Tokyo 2020 Olympic Event, Dimitri Peyskens est en forme pour la Bretagne. « Je n’ai pas disputé le Tour de Wallonie et j’en ai été un peu déçu. Mais le staff a voulu me permettre de me reposer après le Japon pour aborder la 2e partie de la campagne avec un maximum de fraîcheur, ce qui est le cas. Je suis très satisfait de ma 7e place au Japon dans une course qui a été disputée sur le parcours olympique des Jeux de 2020, moins une côte. Nous avons roulé 185 kilomètres, avec un dénivelé positif de 3.500 mètres, de la chaleur et de l’humidité. Ce fut donc dur. J’ai ensuite pris un peu de repos avant de reprendre le travail en vue du Kreiz Breizh que j’aborde en bonne condition. Nous y avons une carte à jouer. » Après la Bretagne, Dimitri Peyskens devrait disputer l’Arctic Race of Norway, la Course du Raisin à Overijse, le GP Scherens à Leuven et la Brussels Classic.