Aux avant-postes sur le dernier Tour de Slovénie, Floris De Tier s’est lancé, après le “national”, dans le Tour d’Autriche. Notre coureur pro de 31 ans enchaîne les courses par étapes vallonnées et ne compte pas s’arrêter là. Il compte d’abord profiter de sa bonne condition physique pour aller chercher un résultat en Autriche.
« Si j’ai les mêmes jambes, un bon classement final devrait être faisable sur le Tour d’Autriche ».
Floris De Tier. « La première étape était assez nerveuse. L’arrivée était jugée en bas d’une descente, c’est toujours assez chaotique. De notre côté, nous sommes bien arrivés en équipe. Louis (Blouwe) et Nathan (Vandepitte) ont tenté leur chance pour la victoire d’étape. Lundi, la dernière côte est à 30 kilomètres de l’arrivée. Le déroulement va dépendre de la manière dont ça va rouler. Le troisième jour, il y aura un col à plus de 2.000 mètres d’altitude à gravir. La hiérarchie devrait notamment se décanter à cet endroit. J’ai eu l’opportunité de disputer beaucoup d’épreuves vallonnées cette saison mais je regrette encore d’avoir été malade pour les classiques wallonnes. Plus récemment, en Slovénie, je me sentais bien et si j’ai les mêmes jambes, un bon classement final devrait être faisable sur le Tour d’Autriche. C’est le plus important pour moi et pour l’équipe. La suite pourrait passer par le Tour de Wallonie ou le Tour de République Tchèque, mais la sélection de l’équipe n’est pas encore validée. Ensuite, il y aura encore de belles courses difficiles comme l’Arctic Race of Norway, le Tour de Grande-Bretagne et la fin de saison en Italie. Ce serait beau de pouvoir gagner ou, en tous cas, d’accrocher un bon classement général sur des courses à étapes ».